CTES 2023/2024 P30

De Projets Polytech'Lille
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Première partie : Définition du projet

Généralités

Nom du projet : Eco'sea

Nom de l'équipe : Apoteck

2023 P30 logo.png

Membres de l'équipe :

  • Lucas MECA
  • Islame IS
  • Justin SE
  • Alexandre GC
  • Benjamin GBA
  • Albane MAT
  • Noé GC

Description-résumé :

Le secteur de la pêche représente une part conséquente de la pollution marine. En effet, on estime actuellement que les déchets formés par l'abandon ou la rupture des filets de pêche dans les océans sont à l'origine de 70% des gros déchets plastiques flottants. Ces "filets fantômes" sont des carcasses de filets laissées dans l'océan suite à divers accidents. Ils sont extrêmement polluants à cause du matériel utilisé lors de leur construction. Effectivement de nos jours, le matériau le plus répandu pour la création de filet de pêche est le nylon, une fibre plastique qui est malheureusement aussi efficace que néfaste. Son utilisation est donc de plus en plus contestée et la découverte d'une alternative est essentielle.

Nous nous sommes donc penchés sur le sujet afin de trouver une réponse à la question : "existe-t-il une autre alternative aussi efficace que le nylon ?" et nous pensons que oui. Notre projet consiste donc à remplacer totalement le nylon par une matière biodégradable et naturelle, à savoir le bambou. En effet, ce bois est connu pour son développement rapide, sans ajout d'engrais chimiques, et peu consommateur d'eau. En plus de répondre à la question environnementale, le bambou est également un matériel cochant toutes les caractéristiques pour un bon filet de pêche selon les pêcheurs : c'est un matériau robuste pouvant supporter une lourde charge sans se briser mais il est également souple et malléable; ce qui le rend idéal. En effet, l'un des problèmes majeurs actuels est la rupture des filets chargés lors de la remontée sur le bateau. Nous avons donc comparé le module de Young du nylon et du bambou et nous avons remarqué que celui du bambou est presque sept fois supérieur à celui du nylon. Nous pensons donc que nos filets en bambou seront plus résistants que ceux en nylon et permettrons de remédier à ce problème. De plus, le bambou résiste bien en milieu aquatique et sera, par conséquent, un matériau durable et adapté à la pêche en haute mer.

Le bambou est, donc, un matériel qui s'inscrit dans les démarches écoresponsables que nous souhaitons réalisées et conserve l'efficacité et la fiabilité du nylon. Il permettra donc de limiter la pollution marine tout en promettant un bon rendement aux pêcheurs.

Organisation de l'équipe & Rédaction du concept

Répartition des rôles et charte de travail

La composition de l’équipe :

  • Chef de projet : Islame
  • Équipe technique : Noé et Justin
  • Équipe Business Plan : Alexandre et Benjamin
  • Équipe communication : Lucas et Albane

Les valeurs de l’équipe :

La cohésion, le respect, le sérieux et la bonne humeur.

Les modes de fonctionnement/ organisation :

Répartition du travail selon nos connaissances et notre savoir-faire.

Travail de recherches collectif puis travail de rédaction individuel.

Les droits de chaque participant :

Chaque participant a le droit de proposer ses idées et de s'opposer aux idées d'autrui.

Chaque participant à le droit de donner son opinion sans jugement.

Les devoirs de chaque participant :

Chaque participant s'engage à écouter les idées des autres et à travailler sérieusement dans le but de faire évoluer le projet.

Chaque participant s'engage à travailler équitablement avec le reste du groupe.

La performance :

Nous nous engageons à suivre notre planning et à s'écouter afin de réaliser un projet réussi dans le laps de temps imparti.

Notre charte de travail

Description des grandes lignes

Économie du projet

Clients et bénéficiaires :

Notre projet s'adresse aussi bien aux pêcheurs indépendants qu'aux grandes compagnies de pêche souhaitant pêcher en haute mer de manière plus écologique et plus responsable de façon à préserver la biodiversité marine.

Modèle économique :

Notre projet s'inscrit avant tout dans une démarche écologique et durable. C'est pour cette raison que nous cultivons nos bambous près de nos usines de fabrication et que nous préférons vendre notre filet aux pêcheurs ou aux compagnies de pêche proches de notre usine de fabrication. Ainsi, en favorisant un réseau local, nous limitons nos empreintes carbone.

Moyens humains et matériels à réunir :

Nous souhaitons créer nos propres plantations de bambou à côté de nos usines de production. Ceci nécessitera donc de la main d'œuvre afin de planter puis ramasser le bambou. Ensuite, les morceaux de bambou seront acheminés jusqu'à l'intérieur de nos usines où ils seront transformés en mailles pour les filets. Les différentes étapes de fabrication seront automatisées. Nous aurons donc besoin de machines capables de découper et de transformer le bambou ainsi que de machines capables de tresser les tiges de bambou pour en former des cordes qui seront à leur tour assemblées en mailles. Tout ce processus sera évidemment suivi et surveillé par du personnel qualifié.

Enfin, une équipe chargée de la vente et de la communication s'occupera de la mise sur le marché de nos produits.

Positionnement par rapport à deux concurrents

Analyse du premier concurrent :

WireCo Worldgroup (leader mondial des filets de pêche en nylon). C'est une entreprise américaine et anciennement bretonne sous le nom de Le Drezen. Elle bénéficie d'une reconnaissance mondiale et possède déjà un grand nombre de clients. Notre but sera donc d'attirer la partie sensible à l'environnement de sa clientèle en nous positionnant comme une Start-Up innovante qui vise à réinventer le filet de pêche en réussissant à éliminer le nylon de nos filets. La concurrence aura donc lieu sur le choix du matériau et notre objectif sera de démontrer que le bambou possède de nombreux avantages comparé au nylon.

Analyse du second concurrent :

Seabird (Start-Up française). Ce concurrent est un concurrent direct puisqu'il s'inscrit également dans une démarche écoresponsable et innovante avec la création de filets de pêche en betterave, cannes à sucre et maïs. De plus, ses filets se veulent plus résistants que le nylon. Notre objectif sera donc de promouvoir d'avantage nos produits en établissant un bon rapport vendeur/clients et de proposer nos filets à un prix concurrentiel.

Notre différenciation :

Nous nous différencions de notre premier concurrent sur l'aspect écoresponsable et respect de la biodiversité et souhaitons nous différencier de notre second concurrent sur l'aspect prix, publicitaire et empreinte carbone. Nous souhaitons également mettre en avant le côté durabilité dans le temps de notre matériau comparé aux leurs.

Image du Scenario d'usage.png

Scénario d'usage du produit ou du concept envisagé

Description de l'utilisateur type :

Compagnies de pêche et professionnelles pratiquant la pêche en haute mer souhaitant être plus respectueuses de l’environnement et pratiquer une pêche plus durable. Elles pourront en effet mettre en avant l'aspect plus écoresponsable de leur pêche auprès de leur clients et donc possiblement augmenter leur prix.

Compagnies souhaitant être plus rentable à long terme car nos filets en bambou seront plus résistants dans le temps que les filets en nylon. Les filets en nylon durent en moyenne un an tandis que les filets en bambou tiendront plusieurs années grâce à la fibre de bambou qui est plus résistante lors de la traction et donc qui supportera mieux la remontée du filet rempli de poissons.

Scénario d'utilisation du produit :

Notre scénario d'usage

Analyse du projet

Réponse à la question difficile

  • Question : La résistance du bambou à l'eau et lors de la remontée est-elle suffisante ? Comment obtenir une fabrication plus écoresponsable ?
  • Comme mentionné auparavant, la plupart des filets de pêche sont aujourd’hui fabriqués en nylon. Ils nous suffit donc de comparer les résistances mécaniques du bambou avec celles du nylon afin de savoir si le bambou est suffisamment résistant. La résistance à la traction ultime, c'est à dire la résistance mécanique au moment de la rupture de l’éprouvette, est de 40 MPa pour le nylon contre environ 160 MPa pour le bambou. En terme de résistance mécanique, il n’y a donc aucun problème. Pour la problématique de la résistance du bambou dans l'eau de mer, il existe des espèces de bambou poussant en milieu aquatique. De manière générale, l’eau de mer ne détériore pas les fibres de bambou. De plus, nous allons plonger notre poc durant une semaine dans de l’eau très salée afin d’avoir un début de preuve, même si il aurait été souhaitable de disposer de plus de temps afin de pouvoir mieux prédire le comportement de notre filets en milieu maritime.
  • Pour ce qui est de la fabrication écoresponsable, il nous paraît nécessaire de continuer les recherches sur la méthode d'extraction de la fibre de bambou. Cela nous permettra de l'extraire sans utiliser les méthodes actuelles qui, en plus d'être énergivores, utilisent des réactions chimiques néfastes pour l'environnement. C'est pour cette raison que nous avons utilisé le chanvre pour notre poc, afin de conserver la notion qui nous paraît indispensable de l'éco-responsabilité.

Choix justifié du POC

Afin de montrer la faisabilité de notre projet, nous souhaitons créer un échantillon de filet de pêche de type filet droit monofilament ouvert. Nous voulons réaliser un échantillon réaliste capable de répondre aux attentes des pêcheurs, à savoir la résistance mécanique, la conservation dans l'eau et l'efficacité lors de la pêche.

Nous nous sommes d'abord penchés sur les différentes techniques industrielles permettant de passer du bambou à la fibre de bambou, nécessaire pour la fabrication de la corde de bambou. Ces techniques consiste à broyer le tronc du bambou et son intérieur pour le casser en petits morceaux. Après le broyage, les morceaux de bambous sont mélangés avec de la soude caustique pour reproduire le processus de création de la pâte à papier (bain de bulles). En effet, les composants non cellulosiques du bambou sont alors dissous et séparés après avoir ajouté une solution diluée d'hydroxyde de sodium. La pâte contenant de la cellulose en tant que composant principal est ensuite déposée sur une machine où elle se rigidifie. Les pâtes rigides sont posées les unes sur les autres afin de créer des briques de papier qui seront ensuite transformées en fibres de bambou.

Ces techniques sont actuellement employées dans certains secteurs comme celui du textile, ce qui nous permet d'attester de leur efficacité. Nous ne sommes cependant pas en mesure de les reproduire à notre échelle car nous ne possédons pas les machines nécessaires. De plus, elles ne correspondent pas à nos démarches écoresponsables puisqu'elles utilisent des produits chimiques, tels que la soude, que nous cherchons à éviter.

Nous nous sommes donc mis à la recherche de techniques artisanales capables d'arriver au même résultat que les techniques industrielles. À la suite de nos recherches, nous nous sommes aperçus qu'il en existait une permettant de créer des mailles de bambou que nous pourrons ensuite utilisées pour nos filets de pêche.

La technique consiste à effiler des morceaux de bambou à l'aide d'un couteau puis à les tresser pour les mettre sous forme de cordes, qui seront ensuite assemblées en mailles.

Evidemment, cette méthode possède quelques failles comme la rapidité d'exécution. Notre but dans le futur serait donc de répondre à ce problème en trouvant ou en imaginant une machine capable d'accélérer le processus de fabrication.

En attendant, nous souhaitons la mettre en pratique lors de nos essaies du 26 et 27 septembre.

Mais cette technique demandant peut-être un peu d'expérience, nous émettons des réserves quant à la réussite de nos manipulations et préférons envisager une autre option pour réaliser notre filet de pêche.

Nous avons donc continué nos recherches et nous en avons conclu qu'il existait un matériau, appelé le chanvre, possédant des propriétés mécaniques et environnementales intéressantes (bien que moins optimales que celles du bambou) et compatibles avec l'expérience que nous souhaitons menée.

De plus, ce matériau à l'avantage d'être vendu directement en cordes que nous n'aurons plus qu'à moduler afin de créer notre filet.

Ainsi, nous souhaitons également tester ce matériau lors de nos essaies du 26 et 27 septembre.

Préparation du POC

Dans un premier temps, nous souhaitons tester l'efficacité de la technique artisanal. Pour ce faire, nous allons tenter de réaliser un filet de pêche en bambou à l'aide de cette technique. Si elle s'avère infructueuse, nous testerons le chanvre.

À la suite de la création de notre filet, nous plongerons notre échantillon dans une cuve d'eau salée durant quelques jours, afin de vérifier que le matériau employé est compatible avec le milieu aquatique. Puis nous testerons notre filet en condition de traction.

Seconde partie : Réalisations

Dossier technique de la preuve de concept

Plan esquissé du filet de pêche en chanvren.jpg

Compte-rendu de la réalisation du POC

Durant la conception du POC, nous nous sommes rendus compte de la difficulté d'extraction et de mise en norme de la fibre de bambou, notamment l'utilisation de produits chimiques polluants pour le traiter des fibres.

En attente de solutions tierces, nous avons opté pour l'utilisation du chanvre comme susmentionné dans la précédente partie.

PoC.jpg

Résultats et Bilan

Grâce à des techniques de nouage et de tressage, nous avons obtenu un échantillon d'un potentiel futur filet. Le filet n'étant pas complet, nous le maintenons tendu par deux tiges de bambou.

Notre maquette a résisté à de multiples tests de résistance de notre part, résistance à la traction et résistance à des masses importantes.

Business Model Canvas

=== le BMC

Le document central est le business model canvas : Notre Business Model Canvas.

Il est toutefois demandé d'ajouter quelques éléments dans les sous-sections suivantes.

Le marché

Notre entreprise d'adresse aux pécheurs professionnels français, ce qui représente environ 4200 bateaux de pêches. Actuellement ce marché est très majoritairement dominé par le filet en nylon

La stratégie industrielle

Nous souhaitons maitriser l'ensemble de la chaîne de production, c'est à dire de la culture du bambou jusqu'à la vente du filet en passant par la fabrication du filet.

Nos usines et espaces pour la culture de bambou seront situés en bordure de mer afin de limiter au maximum notre empreinte carbone et nos couts liés au transport. De plus, nous souhaitons implémenter un canal de vente direct ou les compagnies de pêche viendraient directement à notre usine acheter leurs filets de pêche dans l'optique de réduire au maximum notre empreinte carbone

Les moyens (équipe, matériel, prestataires et fournisseurs)

Tout d'abord nous avons besoins de locaux pour les bureaux et les ateliers de production ainsi que une surface cultivable nécessaire a la culture du bambou

Ensuite en terme de matériel nous avons besoin des machines utiles a la fabrication

Pour les moyens humain, on a besoin de personnes chargées de la culture de bambou, du personnel sur chaque postes de production, une équipe de vente, une équipe de marketing et communication, un service après-vente, une equipe d'ingénieurs chargé de travailler sur l'amélioration du procédé de transformation du bambou à la fibre de bambou

Supports de communication

Les arguments du pitch

Saviez-vous que 10% des déchets marins proviennent des filets de pêche ?

Aujourd'hui, nous avons pour objectif de proposer une alternative éco-responsable afin de préserver les fonds marins.

Nous nous appelons Eco’sea et nous avons comme conviction de rendre les techniques de pêche plus respectueuses de leur environnement.

Pour ce faire, nous vous présentons notre filet en bambou innovant qui contraste avec les filets traditionnels en nylon, qui sont à l'origine de 640000 tonnes de déchets plastiques.

Nous inspirons à concurrencer le marché actuel, composé en majorité de filets en nylon, en misant sur une production locale, ce qui limitera les coûts de fabrication, et en aidant à résoudre l'un des principaux problèmes actuels : le problème environnemental.

Nous souhaitons financer notre projet à l’aide de fonds privés mais nous espérons également obtenir des bourses de concours privés et publiques et des aides de l’État.

Nous sommes convaincus que notre projet peut apporter une partie de la solution dans la préservation du monde marin.

La vidéo de présentation du POC

Fichier:Vidéo présentation POC Eco’sea .mp4

Le support de présentation pour la soutenance

Notre pitch

Derniers documents

Bilan Carbone

1. Quel est le coût carbone de la mise en place de votre projet ? Pour la mise en place du projet, nous devons avoir un hangar afin de transformer notre bambou en filet. Nous pouvons en louer un déjà construit, il n'est pas nécessaire d'en construire un. Il faut qu'il soit proche des principaux ports commerciales ainsi qu'il possède un terrain agricole à proximité. Cela évitera de déforester une forêt pour notre culture de bambou et de limiter les déplacements pour l'approvisionnement de l'usine en bambou. Par conséquent, il n'y aura pas de coût carbone associé à la construction et à l'approvisionnement. Le seul potentiel coût carbone serait celui des livraisons des machines industrielles, lequel dépendra des distances parcourues et du poids des pièces.

2. Sur quelle période va-t-il être amorti ? Le coût carbone sera assez vite amorti. Un filet de pêche type Trémail pèse plus d'un Kilogramme et la production 1kg de nylon génère 20 kg CO2. Un voyage en semi-remorque moyen en Europe est de 130,9 km. La consommation moyen d'un semi-remorque est de 0.0711 kg de CO2 émis pour 1 tonne et pour 1 km. Sachant qu'il peut au maximum transporter une charge utile d’environ 27 000 kg, la consommation pour un l'acheminement d'une machine industrielles est d'à peu près 250kg de CO2 si le camion est plein (131*0.0711*27). Dans le cas le plus défavorable, nous mettrons 125 filets à amortir le transport d'une dizaine de machines.

(source : 1) https://geopelie.com/blogs/journal/les-differentes-fibres-textiles-et-leur-impact-environnemental#:~:text=Impact%20CO2%20%3A%20produire%201kg%20de%20nylon%20g%C3%A9n%C3%A8re%2020%20kg%20CO2%20eq. 2) https://market-insights.upply.com/fr/transport-routier-europeen-10-ans-de-transformation 3) https://www.44tonnes.com/poids-semi-remorque-175#:~:text=En%20effet%2C%20le%20volume%20de,longueur%20de%2018%2C50%20m.)

3. Quels sont les coûts carbone à l'usage ? Comme nous le savons déjà, l'industrie du textile pollue beaucoup. 3.1kWh/kg pour la filature, 2 kWh/kg pour le tissage ainsi que 2.4kWh/kg pour le tricotage. Sans parler de la transformation du bambou solide en particule de bambou ni du tressage des fibres en filet. Ces chiffres sont pour la fabrication du coton mais nos pratique sont sensiblement la même chose. D'après l'OCDE, la France tourne autour de 50 à 80 g de CO2 par kWh d'électricité produite. En comptant seulement le filage, le tissage et le tricotage, nous tournons à 487,5 g de CO2 produit pour un kilo de bambou. Nous savons que toutes notre production est prise en compte, mais cela reste considérablement moins que pour la production d'un kilo de nylon. Ce dernier, je le rappelle, génère 20 kg de CO2 pour la production d'un kilogramme. (source: https://www.cousubio.com/blog/ecologie-textile/demarche-comptabilite-ges & https://youmatter.world/fr/co2-kwh-electricite-france-mix-electrique/#:~:text=Mais%20globalement%2C%20ces%20chiffres%20sont,par%20kWh%20d'%C3%A9lectricit%C3%A9%20produite.)

4. Quels sont les coûts carbone évités ? En passant au bambou, le coût de production du nylon est éviter. Sa production relâche dans l'atmosphère des gaz à effet de serre comme l'oxyde d'azote ou l'oxyde nitreux (N2O), qui équivaut à 298 fois son poids en CO2. (source: https://www.wedressfair.fr/matieres/nylon)

5. Le bilan est-il positif ? Le bilan est grandement positif, car les coûts carbone de production du nylon sont énormes comparativement aux coûts du bambou. Mais il y a toujours beaucoup d'émission dû à la transformation du bambou en fibre. En fin de compte, notre projet Eco'sea permet d'éviter davantage d'émissions de CO2 qu'il n'en génère, ce qui en fait une initiative favorable sur le plan environnemental

Compte rendu de votre rencontre avec le référent-école

Vous devez rédiger un compte rendu de votre rendez-vous final avec votre tuteur en vue de préparer la soutenance.

Notre compte-rendu